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Recherche de collaborations
Un.e chercheur.euse ou un.e acteur.rice
propose une collaboration ou recherche une collaboration !
Vous trouverez ci-dessous des informations et le contact de personnes désireuses de trouver un ou des partenaires pour répondre à l'appel.
Laboratoire AMAP - botAnique et Modélisation de l'Architecture des Plantes et des végétations Modèles "possibilistes" Nous développons des modèles de socio-écosystèmes qui conviendraient parfaitement à cet appel à projets, notamment à son pilier modélisation. Nos modèles sont d'un genre nouveau et encore inconnu en écologie/science de l'environnement : on les appelle des modèles "possibilistes", en ce qu'ils permettent d'explorer tous les possibles d'une situation donnée, toutes les trajectoires à partir d'un état initial choisit - ils sont donc non-déterministes et non-probabilistes ! Nous souhaitons monter une collaboration avec des personnes se focalisant sur un site/territoire précis, possédant des enjeux et questions centrées sur la biodiversité, et qui soient prêtes à modéliser/scénariser leur système d'intérêt (i.e. représenter de façon simplifiée leur système pour en calculer les dynamiques). Contact : Cédric Gaucherel - cedric.gaucherel@inrae.fr
Laboratoire IBENS - Institut de biologie de l'Ecole normale supérieure Art-médiation scientifique sur biodiversité, écologie et évolution Nous sommes un duo d'illustrateurs grenoblois et un chercheur parisien en biologie des populations se dirigeant vers la médiation scientifique. Nous développons un programme de vulgarisation scientifique dans ces domaines qui conviendrait parfaitement à cet appel à projets, notamment pour le pilier "mise en art", les relations science-société, l'inclusion de connaissance non académiques et l’aspect inter(/trans)disciplinaire. Notre pratique agrémente des textes (rapports...) scientifiques avec des dessins humoristiques, décalées ou fantaisies. Contact : Frantz Depaulis - frantz.depaulis@bio.ens.psl.eu
Collectif d'artistes, philosophes et historiens naturalistes amateurs Recherche de laboratoire pour collaboration et hébergement de projet "Queyras 2050" Nous sommes une équipe transdisciplinaire issue des sciences sociales et constituée d’artistes, philosophes et historiens, tous également naturalistes amateurs. Nous travaillons depuis plusieurs mois sur l’appel à projet de la FRB «Vivre bien en 2050 dans son territoire » et finalisons un projet qui a pour terrain le massif du Queyras et plus largement le Briançonnais. Notre méthodologie s’inspire notamment de la notion de « paysage des possibles » développée par la philosophe des sciences Isabelle Stengers (notamment en lien avec les modèles évolutionnistes de Stuart Kauffman). Un de nos objectifs est de nouer un dialogue avec les disciplines des sciences naturelles. Notre idée est de travailler sur les potentielles "bifurcations" qui vont affecter cet écosystème, plutôt que d'appliquer une méthode classique d'extrapolation plus ou moins linéaire des tendances actuellement observables. Nous cherchons un laboratoire pour le rattachement administratif du projet, et nous aimerions beaucoup que cela corresponde à une collaboration réelle et stimulante. Nous sommes aussi soucieux que cela ne se traduise pas par une surcharge de travail et de responsabilités pour les enseignant.es-chercheurs.ses sollicité.e.s. Un élargissement progressif de la plateforme des échanges est par ailleurs impliqué dans le projet. Autrement dit : le mode d'engagement que nous proposons est ouvert et peut évoluer dans le temps. RÉSUMÉ
L’hypothèse d'un “rétrécissement” de l’habitabilité du Queyras requiert un examen de ses possibles conséquences socio-techniques et écologiques à l’horizon 2050. Un scénario à éviter verrait l’association d’une réduction de la biodiversité à la multiplication des fermetures d’accès des axes de mobilité humaine pour des raisons de sécurité. Dans ce contexte prospectif de “mort de la montagne” en tant qu’espace social, symbolique et écologique, est proposé le principe d’une enquête-action. À partir d’un territoire ciblé et d’acteurs qui en sont familiers à divers titres, celle-ci visera à une pluralisation et une mise en dialogue des modes de pensée et de réaction aux dérèglements climatiques. Il s’agira de faire dialoguer les méthodologies théoriques et pratiques de l’anthropologie contemporaine (Nastassja Martin) et de la philosophie spéculative des sciences (Isabelle Stengers) avec l’état actuel des savoirs scientifiques, tels qu’ils sont mobilisés par les scientifiques du PNR Queyras, d’une part, et des savoirs vernaculaires présents sur le territoire, d’autre part. L’objectif est de sonder pratiquement et modéliser les possibilités de diversifier les modes de réponses aux crises systémiques.
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| Personnes connectées : 2 | Vie privée |
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